Liposuccion : petit état des lieux de la pratique en 2024

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La liposuccion n’a pas toujours eu bonne presse, loin de là. Il faut dire que lorsque cette opération a commencé à être pratiquée à partir de la seconde moitié des années 1970, les retombées n’étaient pas toujours positives. Certes, on parvenait à obtenir des résultats impressionnants dans un court laps de temps, mais les patients devaient aussi composer avec l’apparition de cicatrices et autres complications. Qu’en est-il en 2024 ? On fait le point ensemble dans cet article !

 

En quoi consiste la liposuccion ?

 

Avant toute chose, il est important de décrire la liposuccion dans les grandes lignes pour que tout le monde soit au même niveau. Dans son principe, l’opération n’a pas réellement évolué depuis 50 ans : il s’agit d’aspirer des amas graisseux qui sont “en trop” et qui sont situés en profondeur. Ceux-ci ayant comme particularité d’être particulièrement résistants aux régimes amincissants classiques, on comprend alors que la liposuccion intervient comme un coup de pouce fort appréciable. Autre élément intéressant qui est assez peu évoqué : chez l’homme, les cellules graisseuses que l’on appelle “adipocytes” sont limitées. Résultat : une fois aspirées, elles disparaissent et il n’est en théorie plus possible de grossir à nouveau au niveau des zones impactées. Vous trouverez plus d’informations sur le site esthea (spécialiste de la liposuccion à Liège), voyons désormais de quelles façons la pratique a évolué ces dernières années.

 

Quelles sont les dernières innovations avec la liposuccion ?

 

De nos jours, on préfère utiliser le terme de “liposculpture” à la place de “liposuccion”. En effet, il n’est plus question d’aspirer les amas graisseux d’un coup à l’aide de grosses canules (les fameux tubes). Ce sont ainsi des canules avec un diamètre plus fin qui sont utilisées afin d’y aller par petites touches et d’effectuer un vrai remodelage de l’ensemble. De même, des conseils en termes de nutrition sont donnés pour que le patient puisse conserver sa silhouette. En bref, vous n’êtes plus lâché dans la nature avec un corps disgracieux après une liposuccion ! Par ailleurs, si vous faites une recherche sur le Net, il est probable que vous tombiez sur le terme de “vibroliposculpture”. Il fait référence à l’une des méthodes les plus récentes de la liposculpture. Durant celle-ci, le chirurgien va utiliser une canule vibrante après avoir injecté une solution saline pour séparer les cellules graisseuses du reste. L’objectif est de gagner en précision afin de limiter les effets secondaires récurrents (ecchymoses, œdèmes…). 

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